Seul...

Kiro se promenais dans l'anceinte de l'école, sans rien y trouvé d'interessant pendant cette nuit pourtant si étoilé. Il sortit alors, voir si la ville vivait un peu plus. Rien.. Seul les lumières des lanpadaires éclairaient les petites ruelles. Tout paraissait mort. Comme si la ville venais d'être abandonée. Peut-être était il arrivé trop tard.. les élèves devaiensurement être couchés.
Il continuas de se ballader, éssayant de retenir son chemin pour pouvoir se reprérer quand il aurais finit son petit tour nuptiale. Il est vraie que même tard la nuit, Kiro n'avait pas peur. D'ailleur il ne se souvenait pas avoir déjà eu peur une fois dans sa vie. Au contraire, le froid et la noirceur l'appaisait. Les étoiles le guidait, tout cela était son monde à lui.
Il s'arréta dans une rue ou une lumière plus forte que les autres se faisait voir. Il marcha vers celle ci et vit un bar.

Enfin quelque chose d'ouvert. pensa-t-il.

Il s'avança lentement, et vit a travers la vitrine, une jeune femme avachis sur son comptoire, somnolant à moitier. Il enclencha doucement et silencieusement la porte pour ensuite la pousser et entrer, laissant un hâle de chaleur l'envelopper de tout son corps. Un petit "ding" se fit entendre, se qui reveilla la jeune femme. Elle lui balbutia, dans son demi someil, un petit bonjour pas très acceuillant.

Bonsoir mademoiselle. Un kirsch silvouplait.

Elle fit un petit signe de tête et se retourna afin de préparer se qu'on avait demandé. Kiro s'assit au comptoire et remarqua qu'il n'avait pas de sacs. Il avait surement du les laisser à l'école.

[ j'espère que ça ne te dérange pas ? *__* ]

Après avoir passé le reste de la journée à errer dans les couloir, sans trouver la moindre petite chose à faire, Daiki avait décidé de mettre le nez dehors. Il était tard, certes, mais cela ne le gênait pas, au contraire, être un peu seul lui convenait parfaitement. Il marchait alors de son pas las dans les rue qui se trouvaient autour de l'école, cherchant un endroit où se poser. Soudain il sentit une brise nocturne l'envelopper, ce qui le fit frissoner. Il n'aimait pas du tout avoir froid et de plus, il était quelqu'un d'assez frileux.

Il passa la main sur le pensement se situant sur son cou, ne se souvenant même plus de sa présence et se mit à pousser quelque jurons lorsqu'il s'en souvint. Il lui fit immédiatement repenser au professeur Shiro. Il le faisait bien rire quelque part, il semblait s'être pris de sympathie pour lui au point de s'en occuper, Daiki trouvait cela bien trop risible. Il frissonna à nouveau, il faisait vraiment froid et une goute de pluie avait aterrit sur le dos de sa main. Ce pensement commençait à le gêner, mais il n'osait pas l'enlever. Sans savoir pourquoi, il se disait "non tu dois le laisser". Au bout de quelques seconde,s il se mit à rire et il arracha le pensement d'un cou avant d'aller masser doucement sa cicatrice. Celle-ci lui était encore un peu douloureuse, mais il s'en fichait.

Le jeune homme sentit alors ses bras qui commençait à trembler ainsi que ses doigts s'engourdir. Il recommença alors à marcher, mais cette fois-ci d'un pas plus rapide pour ne pas se laisser congeler sur place. Non loin de là, il trouva un bâtiment qui semblait être un espèce de bar à en juger par l'enseigne qui pendait négligemment devant la porte. De fulgurantes lumière jaunâtre s'enfuyait de l'intérieur pour glisser sur le sol de béton, devant les pieds de Daiki. Sans même réfléchir, le jeune violet jugea qu'il serai bon d'aller se réchauffer à l'intérieur. Il alla alors et enclencha la porte qui laissa un léger tintillement résonner à l'interieur de la pièce, ce qui ramena l'attention de ses occupants sur lui. Il balaya la pièce d'un regard froid avant d'aller s'installer au comptoir, près d'un jeune homme qu'il avait bien l'impression d'avoir déjà vu, il semblait si jeune...

Il lança un petit " 'soir " à la juene femme du comptoir sans même faire attention à sa réponse et il plongea ses mains dans ses poches en quette de pièces de monnaies. Lorsqu'il se rendit compte qu'il n'avait rien ramené avec lui, il poussa un léger juron avant de passe nerveusement sa main dans ses cheveux. Pour rester dans un bar, il fallait commander, et pas question de retourner dehors par ce vent glacial !

[tu écrit super bien, et ton poste est genial]

Kiro posa ses mains sur le comptoire en attendant d'être servis. Il se mis à songer quelque instant. Que faisait il ici éxactement ? Etait il là pour apprendre, ou pour qu'on le juge sur son talent ? Rien ni personne n'avais le droit, selon Kiro, de juger le talent et la perception de la vie de quelqu'un. Il se souvenait parfaitement de se jour, ou ce professeur, dont il ne se souvenait même pas du nom, avais osé critiquer le poème de Kiro. Il était, soit disant "trop mélancolique". N'y a-t-il rien de mélancolique dans le fait d'avoir toute sa jeunesse, et même toute sa vie, été rejeté par sa famille, sous prétexte que l'Art n'était pas un metier et qu'ils n'avaient aucune raison d'être fier de leur fils s'il s'interressait à des niaiseries pareils. Kiro s'en était pris des coups, pour avoir sauvé l'honneur de l'Art. Mais il avait compris par la suite qu'il ne servait à rien de riposter et de sauver ses paroles ainsi que ses pensée au yeux des autres. Seul lui savait se qui faisait battre son coeur et cela lui sufisait.

La serveuse déposa le verre de Kirsh sur le comptoire. Kiro observa le verre. Enfait il n'avais pas du tout envie d'un Kirsh. Il n'avais envie de rien. Juste d'un crayon et d'une feuille pour pouvoir écrire se qui lui passait par la tête. Mais tant pis. Il pris délicatement son verre, l'aporta à ses levres, hésita, puis avala cu sec le contenue. Il reposa plus ou moin violement le verre sur le comptoire sans pour autant fair enormément de bruit. Pourtant, un petit "ding" s'en était échapé. Il tourna la tête vers la porte et vit un jeune homme, surement plus jeune que lui, les ceuveux d'un violet étrangement inspirant pour Kiro. Le jeune homme vint s'assoir à côté de lui tout en disant bonsoir à la servante qui ne faisait gere attention à se qui se passait autour d'elle.

Le jeune homme semblais chercher quelque chose dans ses poches. Surement de la monnaie. Ne trouvant rien, il semblais un peu perdu et passa, quelque peu déséspérément ses mains dans ses cheveux. D'un naturel très amicale, Kiro se tourna vers lui.

Ne t'embête pas plus longtemps à chercher de la monnaie. Je cherchais de la companie, si tu m'en offre je t'offre à boire, ça te vas ?

Kiro avais peur de parâitre trop ringard avec ses paroles, mais après tout, peu de personne jugent leur rencontre par leur premières phrases.

[merci bcp ! j'aime bcp ta façon d'écrire ^^]

Un sursaut traversa le corps du jeune homme, il n'avait plus vraiment fait attention à ce qui l'entourait et donc, il ne s'était pas attendu à ce que le jeune homme à ces côtés lui propose de la compagnie en échange d'un verre. Daiki tourna alors son regard vers le jeune homme, il était jeune mais semblait tout de même plus âgé que lui. Il avait un visage fin et de magnifiques yeux grisâtres qui attirèrent l'attention de Daiki. De longs cheveux gris eux aussi tombaient gracieusement sur ses épaules et sur son front. Ce jeune homme semblait avoir une certaine classe, il était très beau.

Son regard froid planté dans celui de son interlocuteur, Daiki ouvrit la bouche, se préparant à rejeter sa proposition, lorsqu'il se souvint alors des paroles du professeur Shiro. Il lui avait conseillé de s'ouvrir un peu plus aux gens, Daiki n'en avait pas spécialement envie, mais il se rendit compte que c'était un peu stupide de rejeter ce beau jeune homme alors qu'il l'invitait si gentiment, et donc Daiki ne serait pas jeter hors du bar. Il fit alors mine de réfléchir, après tout cela ne lui ferai pas tant de mal, un peu de compagnie. Il haussa alors les épaules en prenant un air indifférent tout en restant poli.

" Pourquoi pas, merci. "

Il appela alors la serveuse et lui balança d'un ton nonchalant "un chocolat chaud" avant de se frotter les bras afin de mieux se réchauffer. Il s'accouda ensuite sur le comptoir, posant son visage dans ses mains, et se mit à fixer le jeune homme. Il faisait partie de l'école, il en était sûr, il l'avait lui semblait-il croisé dans les couloirs alors qu'il s'en était allé de la salle de musique. Il semblait assez solitaire.

La serveuse posa maladroitement le chocolat brûlant devant lui en soufflant un "voilà" froid et pas très accueillant. A quoi bon faire un tel métier si le contact des autres ne nous enchante pas. Daiki lui avait certain projet vague en tête, mais il semblait être trop égoiste pour cela, d'après Shiro. Il détacha son attention du jeune homme afin de porter la tasse à ses lèvres avant de boire une petite gorgée du liquide brunâtre et de se retourner à nouveau vers lui.

" Qu'est-ce que tu apprend dans cette école ? "

Il avait posé cette question d'un ton tout naturel, il voulait satisfaire sa curiosité, et si ce jeune homme aimait aussi la musique, au moins ils pourraient s'entendre un minimum, même si Daiki ne recherchait pas spécialement à se faire des amis.

Le jeune homme au cheveux violet semblat un peu surpris par la proposition de Kiro et le regarda froidement, ce qui laissa Kiro totalement indifferent. Il n'avais pas l'air d'avoir envie de partager son temps, ni envie de parler. Dailleur, Kiro le trouva assé étrange. Comment pouvait on être renfermé sur soit même s'il on était un artiste ? Puis, très poliment, le jeune garçon accépta et commanda un chocolat chaud à la serveuse qui ne paraissait vraiment pas motivé. Il le salua en retour de son merci.

Il regarda la serveuse d'un regard vide, qui devait surement faire assé peur vu que Kiro n'avais pas de pupille, ou en tout cas qu'elles ne se voyaient pas.

Et un Thé pour moi silvouplait.

Sans le regarder, elle se mis au travaille. Kiro se demandais comment cet eleve avais atteris ici. Pour quelle raison il était dans cette école et pourquoi il était dans ce bar si tard le soir. En regardant ses mains il devnina qu'il devais être musicien. Dailleur c'est ce que Kiro avais remarqué depuis le début, et se qui lui avais parut le plus évident. Il regardait ses mains, éssayant de l'imaginer, jouant d'un instrument. Mais lequel ? Les seuls mots qu'ils avaient échangés ne dévoilaient aucunement leur semsibilité.

Une autre chose le surprit. Il avait, sur le coups, une cicatrice qui parraisait si vielle mais pourtant si recente. Comme si elle était réouverte à chaque fois. Que pouvait bien être cette grande balafre située à un endroit pareil ?! C'est longtemps que Kiro résta figé sur cette marque si intriguante jusqu'à ce qu'on lui apporte sa boisson. Un grand bole, remplit d'un liquide extremement transparent pour un thé, lui avait été déposé pas très délicatement. Il importait peu, le jeune homme lui avait posé une question. Qu'apprenait il dans cette école ? Il ne savait même pas se qui y était enseigné.

Peut être pour la musique. Ou pour le théâtre. Enfait je n'en sait strictement rien. J'ai jusqu'ici toujour tout apris, il ne m'est jamais venu à l'ésprit de fair un choix.

Il s'arrêtat quelques secondes en baissant la tête. Il ne pouvait s'empécher de penser à sa famille. Cela le rendait mélancolique et soucieux. Mais Kiro savait passer au dessus de cela, de ses petits FlashBack qui lui revenais constament en mémoir. Il se secoua discretement la tête en plissant la tête, caché par ses méches de cheveux grisatres.

Serais tu pianiste ?

Kiro n'avait pas beaucoups de chance de se tromper de toutes les manières, il ne perdait rien en faisant cette affirmation.

Daiki écouta attentivement le récit du jeune homme, tout en buvant une nouvelle gorgée de son chocolat chaud qui le fit grimacer. A première vue, on aurait pu croire qu'il n'en avait rien à faire de ce que son interlocuteur lui racontait mais en réalité il l'écoutais avec assez d'interet. En réalité le jeune homme ne le comprenait pas vraiment. Comment décider d'aller dans un endroit précis sans être vraiment sûr de ce que l'on veut y faire. Pour Daiki, c'était clair même si ça n'avait rien à voir avec sa passion.

Le jeune homme changea légèrement de comportement après avoir paré, Daiki le remarqua du coin de l'oeil mais n'y fit pas trop attention, ce n'était pas dans sa nature de s'inquiéter pour les gens qui l'entourait. Ou du moins il avait perdu cette faculté de s'inquiéter pour tout le monde. Puis la question qu'il lui posa ensuite le fit sourire du coin des lèvres. Ce jeune homme devait avoir un bon sens de la vision pour "deviner" qu'il nourrissait dans cette école sa soif de jouer du piano.

Sentant la vue du jeune homme peser sur sa cicatrice, il y passa la main et la frotta légèrement, sentant un petit picotement. Il tourna ensuite de nouveau la tête vers lui.

" Oui c'est exact. "

Puis il balada les doigts sur les bords de la tasse fissurée à certains endroits, en laissant son regard se plonger dans le regard du jeune homme.

" Pourquoi es-tu venu dans cette école alors ? "

Kiro avait vu juste, le jeune homme assi à côté de lui était bien pianiste. Mais bisarement c'est sans fierté qu'il le lui avais anoncé. Kiro avais toujours été fier de lui, vu qu'il n'y avais personne pour l'être à sa place. La question lui avais de nouveau été retourné mais il ne répondit pas. Il resta silencieux. Une grande mélancolie l'avait envahit. Kiro n'en revenais pas. Il commençais à se demander ce qu'il faisait ici, peut être que cela nuirait à son talent. Mais quel talent. Kiro ne s'en sortait plus avec toutes ses questions. Il pris sa tasse de thé dans la main, hésita encore une fois, puis il but assé vite, en prenant quand même soin de ne pas se bruler. Cela faisait maintenant plus d'une journée que Kiro n'avais, ni cahnter, ni écrit, ni toucher le moindre instruments. Il se sentait mal, mais cela ne se voyait pas. Il restait de marbre devant sa nouvelle rencontre. Cacher derière ses cheveux gris.

Il respira un grand coups, releva la tête bien haut et se recoiffa. Sa mélancolie était passer. Il repenssa aux dernières paroles de.. comment s'apellait il ? Il n'en savait rien..

Aufait.. Comment t'appelle tu ?

Kiro avait dit ça d'une voix resque creuse et sans vie. Il est vraie que c'était la première fois qu'il quittait réelement sa ville natale. Surement était-il juste depaysé.

Tout en continuant de fixer le jeune homme, Daiki attendait sa réponse. Le jeune homme avait la tête baissée et le visage caché par se slongs cheveux gris. Lorsqu'il se releva, il poussa un inspiration profonde et balada ses doigts dans ses cheveux pour se recoiffer. Puis la voix du jeune homme retentit alors. Une voix un peu différente, elle semblait vide et extremement creuse, elle en donna un frisson au violet. Mais ce qu'il lui dit lui fit plisser les sourcils. Qu'est-ce que son nom pouvait-il bien lui faire ? Mais par politesse il répondit.

" Daiki Ozaki, et toi ? "

C'était aussi par politesse qu'il lui retourna la question, il ne comptait pas non plus le revoir tout les soirs ou faire ami-ami avec lui.

Il porta une nouvelle fois la tasse à ses lèvres et en but une longue gorgée, puis il reposa la tasse vide sur le comptoir. Il croisa alors les bras et fixa ce qui se trouvait devant lui, c'est à dire une longue rangée de bouteilles d'alcools sur une étagère. Puis il ferma les yeux, ce Kiro semblait avoir lui aussi une raison bien précise et peut être douloureuse pour être venu dans cette école sans idée précise sur ce qu'il allait y faire. Il se demandait combien de personne dans cet esprit il allait croiser... mais après tout c'était leurs problèmes et ça ne le regardait pas. Il laissa un petit rire s'échapper de ses lèvres.

" C'est drôle, on dirait que peu de personnes viennent réellement ici pour apprendre. "

Du moins c'était vrai pour son cas, il savait précisément pourquoi il était venu ici, et ce n'était absolument pas pour apprendre, il avait choisi cet endroit uniquement parceque sa passion l'y avait attiré.

Kiro, qui était sortit de sa mélancolie passagère, redevenu plus ou moin normale. Il se souvint qui n'avais peut être pas été très agréable avec Daiki. Il s'en voulait un peu, de se montrer si creux devant un inconnue. Mais peut importait, ils ne deviendraient surement pas les meilleurs amis du monde. Sa question lui avait été retournée, et c'est calmement et gentillement qu'il lui répondit.

Enchanté Daiki. Je m'apelle Kiro Shida.

Après cette réponse, l'on pouvait voir sur ses lèvres, un petit sourir discret. Malgré les regards froids de Daiki, Kiro se sentait bien, assit à ses côté dans se bar. Ils avaient un point en commun. La musique. D'un coups, Kiro devint très curieux. Il mourrait d'envie de partager sa passion avec ce garçon. Mais comment le prendrait il s'il lui demandait de lui montrer son talent ? Peut être était-ce trop précipité. Mais à vraie dir, il se sentait mal, aussi loin des choses qu'il aimait. Il posa ses mains sur le comptoire, comme s'il cherchait quelque chose à attaper. Il regarda Daiki, qui avait plongé son regard sur une rangée de bouteilles. Il semblait se poser des quéstions. C'est après un petit rire qu'il lui adressa la parole. Sans trop savoir quoi répondre, Kiro le regarda. Peut être que lui aussi ne savait pas, finalement, ce qu'il venait fair ici. C'est sans hésité qu'il le lui demanda.

A tu réelement envie d'apprendre ? Ou est tu ici pour apprendre se que les autres ont à t'offrir, pour pouvoir nourir ta passion musicale..

Il regarda fasse à lui. Une bouteille était placé sous le comptoire, visible à leurs yeux. Kiro l'attrapa et en remplit son verre ainsi que celui de son voisin sans lui demander son avis.

Je pense que ça vas nous raviver un peu, tu ne crois pas..

Il déposa la bouteille à sa droite, très délicatement, prenant le soin de ne faire aucun bruit et ne ne pas se faire remarquer par la serveuse qui semblait completement endormit. Il pris son verre dans ses mains froides, que le thé n'avaient nulement réchauffées, aporta la tasse à ses levres et bus presetement, comme s'il devait se dépécher.

Alors qu'il s'était un peu laissé emporté dans ses pensées, la voix de Kiro résonna à coté de lui. Il lui demandait s'il avait réellement envie d'apprendre et si c'était dans ce but qu'il s'était retrouvé dans cette école. Daiki posa de nouveau son regard dans le sien et sourit du coin des lèvres.

" Non pas vraiment. "

Puis il observa le jeune homme qui avait attrapé une bouteil d'alcool sous le comptoir. Il le vit se servir, mais lorsqu'il le servit à son tour, Daiki perdit ses moyens et un souvenir vint s'empresser d'encrer son esprit, toutes ces bouteilles, un regard vide et les yeux qui tournaient sans savoir où regarder. Il le voyait là, inerte, sur son fauteuil.

Daiki repoussa alors violemment sa tasse qui contenait maintenant un liqude légèrement jaunâtre, de l'alcool.

" N..non merci... je deteste l'alcool ! "

Il s'accouda alors sur le comptoir et pris son visage dans se smains, son coeur s'était mis à battre violement et il voulait tenter de le calmer. Plusieurs images tournaient dans sa tête, il n'arrivait pas à s'en défaire. Sa respiration était devenue rapide, allétante, et son coeur cognait contre sa poitrine, mais il se calmait petit à petit au fur et à mesure que Daiki entait de penser à autre chose... Le visage du prefesseur Shiro lui vint en mémoire.

C'est en lui souriant du coin des levres, que Daiki lui répondit qu'enfait, il n'était pas vraiment là pour ça. Pendant que Kiro buvait, le jeune homme avait repoussé violement son verre et d'une voix tramblante lui dit qu'il n'aimait pas ça. Kiro comprit parfaitement mais le comportement de Daiki avait changé. Il semblait perturbé, même affolé. Il avait posé sa tête entre ses mains, comme s'il était déséspéré. Kiro se sentit mal de ne pas comprendre se qu'il se passait. Peut être aurait il dut lui demander son avis avant de le servire bêtement, sans savoir s'il y avait un quelconque mauvais souvenir à raviver. Mais kiro ne savait plus quoi fair, la réspiration de Daiki était de plus en plus rapide et telement la pièce était silencieuse que l'ont entendait son coeur battre la chamade.

Daiki.. veut tu que l'on change d'endroit. Je n'ai pas l'impréssion que tu te sente si bien que ça depuis que tu est entré ici.

Kiro se leva, déposa un petit billet sur le comptoire et mis sa veste. Il regarda Daiki qui ne semblait pas vouloir bouger et qui devait éssayé de se calmer.

[Tu m'éxcuseras pour se poste assé court..]

[pas grave, le mien n'était pas vraiment long non plus hein ^^" et celui là non plus mdr]

Alors qu'il essayait en vain de reprendre une respiration normale, la voix de Kiro avait retentit une nouvelle fois à côté de lui, il avait remarqué son changement brutal de comportement, en même temps comment ne pas le remarquer ? Il s'était relevé, avait fouillé dans ses poches, surement pour payer la serveuse et semblait avoir enfilé sa veste. Daiki releva la tête et se mit debout, la tête baissée. Son coeur s'était à peu près calmé mais maintenant Daiki ne se sentait pas vraiment bien. Il tenta de ne rien laisser parraitre alors.

" Boh, si tu veux, de toute façon je me sens rarement bien. "

Puis il ria doucement mais ironiquement. Il passa une main dans ses cheveux d'un air embarassé et s'avança vers la sortie.

=> ? (je te laisse faire un autre post et choisir l'endroit ? ^^)