Chambre 3 [PV Kiro- Luca]

Nana arriva dans un couloire, elle cherchait désespéremment la chambre 3.

Chambre 1... Chambre 2... Chambre 3 ! Voilà j'y suis.

Elle entra dans la petite pièce. Elle était très éclairée, des rideaux empêchaient qu'il y ai encore plus de luminosité. Il y avait deux lits bordés de draps en soie rouge, un de chaque côté. Celui de gauche, était plus fais pour un homme, et celui de droite pour une femme. Mais elle attendait avec impatience l'arrivée de Kiro pour savoir lequel il préfèrait. La décoration était très... ... ... ... moderne. c'était son impression, elle ne pouvait expliquer pourquoi. Peut-être était-ce parce qu'elle avait toujours vécu dans la ferme de ses grands-parents avec ses parents, et que ceux-ci avaient laissé tel que c'était il y a une 50aine d'années. Elle posa ses affaires vers le bureau, qui était vers la fenêtre, et attendit que son partenaire de chambre arrive en croquant.

Quand Kiro rentra de sa promenade nocturne avec Daiki, il lui sembla bon de venir se reposer dans sa chambre. Il éspérait tout de même que son ou ses colocataires n'étaient pas arrivés car il était vraiment tard. Le soleil se levrait surement dans moin d'une heure.
Il traversa tout l'établissement, repassant plusieurs fois devant les même portes dont seul le numéros changeais à chaque fois. Les chambres devaient surement se trouver au fond d'un couloir et effectivement, il trouva enfin le dortoir. Sa chambre était la n°3, c'est ce que lui avait dit en tout cas, Elena, la directrice, lors de son enrtetient. Il entra donc, silencieusement, de peur de déranger son colocataire.

La chambre était très sombre, envahit par la noirceur de la nuit. Mais il aperçut tout de même la silouhette d'une personne endormi dans son lit. Sans fair le moindre bruit il posa son petit sac, se déshabilla et se glissa délicatement dans ses draps. Il aurait le temps demain matin de fair connaissance avec son partenaire. Pour l'insant, le petite viré nuptiale l'avait épuisé. Pas étonnant, il devait bien être cinq heure et le jour commenssait à se lever.

Il éteignit son portable et s'endormis, plongeant son ésprit dans de profonds songes.